Couédic Madoré a décidé de collaborer avec deux autres entreprises locales pour mener à bien une opération de recrutement et de formation de chaudronnier en alternance.
Installée à Plémet l’entreprise Couédic Madoré est discrète, et pourtant… Avec 110 collaborateurs et un chiffre d’affaires de 20 M€ en mars 2022, elle est le leader national de son secteur : la conception, la fabrication et l’installation de matériel d’abattage et de ligne de découpe pour la viande ovine, bovine et porcine.
Dans le cadre de son projet d’entreprise « Ambitions 2025 », Couédic Madoré Equipement intègre la French Fab – un label lancé en 2017 par le ministère de l’économie qui a pour but de fédérer les industriels et renforcer la promotion de l’industrie française.
Dans le cadre du plan France Relance, le ministère de l’Agriculture a lancé le 5 juillet dernier un « plan abattoirs » se déclinant en trois volets. Au programme de ce dernier : modernisation, inspections, accompagnement des abattoirs dans le but d’améliorer les conditions de travail et le bien-être animal
Dans un contexte global de baisse continue de la disponibilité de main-d’œuvre et de raréfaction des compétences, la modernisation des équipements d’abattage et matériels de découpe de viandes devient primordiale pour gagner en compétitivité et en sécurité.
En 2018, la Commission européenne a lancé la création d’un centre européen pour aider les PME à évaluer la possibilité d’adopter à la fois des solutions de fabrication avancée et des stratégies d’innovation sociale, transformant ainsi leur organisation en usines de nouvelle génération avec une production plus compétitive, moderne et durable. En tant que leader français de solutions globales pour l’agro-industrie, c’est naturellement que COUEDIC MADORE EQUIPEMENT a rejoint en 2020 le projet ADMA.
Initiée en 2018 par la Commission Européenne, le projet ADMA (European Advanced Manufacturing Support Centre) vise à aider les PME européennes à adopter les solutions de fabrication les plus avancées et les meilleures stratégies d’innovation digitales et sociales, afin d’entamer leur transformation en usines « nouvelle génération » avec une production plus compétitive, moderne et durable.